Détentrice d’un doctorat en Sciences du Langage (Lyon2Lumière : 2002), sur base d’une thèse intitulée : Le dialogue romanesque chez Marguerite Duras. Un essai de pragmatique-narrative, j’ai publié une série d’articles en pragmatique comme en littérature (essentiellement consacrés à Marguerite Duras). Une problématique me préoccupe depuis un certain temps déjà à propos de l’oeuvre leclézienne : comment et pourquoi les amateurs de Duras rejoignent souvent l’univers de Le Clézio à commencer par Madeleine Borgomano qui fut présidente des deux Sociétés : la société M. Duras et l’association J.M. Le Clézio, pour ne citer que la plus célèbre d’entre eux ? Que partagent ces deux auteurs pour qu’ils fascinent l’un comme l’autre les mêmes personnes alors qu’à première vue, ils recourent à des types d’écriture bien différents ?