Le 29 avril, la cour d’appel de Paris a refusé une nouvelle fois d’appliquer une mesure fondée sur des motifs humanitaires prévue par la loi. En réponse à cette décision, le prix Nobel de littérature, J. M. G. Le Clézio, rejoint les 149 premiers signataires de l’appel pour demander à la justice et au gouvernement français la libération et la protection de Josu Urrutikoetxea.